L’éco-anxiété est un phénomène de plus en plus récurrent aujourd’hui.
Il s’agit d’une forme de stress liée au réchauffement climatique, liée aux inquiétudes autour de la santé de la planète, de notre environnement.
Naissance de l’éco-anxiété ?
Le philosophe Glenn Albrecht a été la première personne a théorisé ce phénomène : la solastalgie. Il l’a définit comme “le sentiment de désolation provoqué par l’état actuel de son environnement proche et de son territoire.”.
De nombreuses études sont alarmantes, de nombreux chiffres sortent tous les jours, c’est totalement effrayant pour bon nombre de personnes. La montée des eaux, l’augmentation des millions de réfugiés climatiques, la destruction des écosystèmes et la disparition de la faune et de la flore génèrent de l’anxiété principalement à la jeune génération.
Les manifestations des jeunes pour le climat suite aux discours de Greta Thunberg peuvent être des explications de la jeunesse qui ne souhaitent plus se laisser faire, de la jeunesse qui lit les rapports du GIEC (groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat), mais aussi de la jeunesse qui souffre d’une certaine impuissance.
S’y ajoutent les théories de “collapsologie”, c’est-à-dire un effondrement de la société et de l’espèce humaine. Qu’on y croie ou non, les livres qui en parlent sont des succès et mettent en évidence des problèmes sociétaux.
Quels symptômes ?
Aussi appelée dépression verte, elle se caractérise par des troubles du sommeil, des angoisses longues et profondes, des troubles anxieux, des sensations d’oppression, de peur de l’avenir, du déni, du désespoir ou autres.
Maladie reconnue ?
Depuis plusieurs années, aux USA, l’éco-psychologie est née. C’est une discipline médicale.
Quant à l’Europe, l’éco-anxiété n’est pas prise en compte et n’est pas considérée comme une maladie et un problème touchant de plus en plus de monde.
Les psychologues ne sont pas formés face à ce phénomène et pensent souvent qu’il s’agit d’un problème lié à l’enfance. En effet, c’est une détresse difficile à expliquer, l’entourage peut être dans l’incompréhension car cela ne touche pas directement.
Les solutions ?
Il faut tout d’abord se reconcentrer sur soi-même. Puis penser positivement, travailler sur le positif pour sortir de cette situation.
L’éco-anxiété est aussi caractérisée par la perte d’espoir de changement, par l’impression que la catastrophe sera inévitable. Agir du mieux que l’on peut, créer des attentes positives permettent de sortir de ce sentiment d’oppression.
Que faire ?
- en parler pour se libérer d’un poids
- déculpabiliser car une personne seule n’est pas responsable de tout ce qu’il se passe
- penser au présent et se laisser vivre
- agir, à l’échelle individuelle d’abord
Comment agir ?
→ En commençant par consommer moins et mieux.
En effet, l’action individuelle de chaque personne est un grand pas en avant. Entamer une démarche zéro-déchet est primordiale pour changer ses habitudes de vie, de consommation de façon sereine.
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